E.I.F.F.E.L (rock) Six lettres qui racontent le parcours intransigeant accompli par un groupe qui ne s'est jamais limité au rock français et qui s'est toujours affiché tel qu'il est : passionné et insoumis, défiant les modes pour mieux revendiquer sa singularité. Six lettres qui résument aussi un double héritage : celui du sol qui l'a vu naître, et qu'il a sillonné dans tous les sens, et celui du rock américain qui a enflammé la mèche (« Alec Eiffel », sur Trompe-Le-Monde, le plus francophile des albums des Pixies). Six lettres enfin qui abritent l'histoire d'un couple au sein d'une aventure qui les dépasse, et qui rappelle irrésistiblement d'autres ménages électriques : Thurston Moore-Kim Gordon, Patti Smith-Fred « Sonic » Smith...
Libéré de toute obligation discographique à l'issue de la tournée Tandoori, le groupe a pu se permettre d'aller au bout de ses ambitions.
D'emblée, Eiffel s'affranchit d'une contrainte : peu importe si cet album est difficile à reproduire sur scène. Il met alors tous les moyens qui sont à sa disposition pour tenter d'aller plus loin musicalement parlant (slide-guitar, banjo, harmonium...), convoque des frères d'armes comme Fabrice Gand et Clémentine Humeau (hautbois d'amour et hautbois de chasse) ou Joseph Doherty (Violon alto, Clarinette basse, Sax baryton, cornet). L'écriture s'étale sur une période de quatre mois, l'enregistrement sur dix.
De quoi parle ce nouvel album ? De la condition humaine, dans tout ce qu'elle peut avoir de « charmant et dégueulasse ». L'écriture est certainement plus directe qu'auparavant. Elle témoigne aussi des moments de doute qu'Eiffel a traversé, comme sur « Je m'obstine ». Les structures des chansons sont différentes : moins rock, elles reposent plus souvent sur le rythme de la marche. Les trois années qui viennent de passer ont été décisives. Elles ont réaffirmé Eiffel dans le chemin de l'autonomie et de l'exigence. La fougue est toujours là, mais les dents sont serrées. Le regard est toujours aussi intense, et il porte loin, « comme quand on ne sait rien et que l'on sent tout », comme ils l'écrivaient eux-mêmes sur le précédent album.
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http://www.myspace.com/eiffeltandooriHOLOPHONICS (rock)Très attiré par la puissance des grosses guitares, ne reniant en aucun cas ses influences métal même les plus lointaines, mais aussi très tenté par les sonorités modernes du new rock, Holophonics conjugue le mélange de tout cela au présent. Une voix aux mélodies recherchées survole une musique qui passe sans la moindre hésitation de la frénésie métallique à des climats profonds étayés d'ambiances électro. La fusion des styles paraissant pour le moins inattendue, le son n'en reste pas moins homogène, direct, sincère.
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http://www.myspace.com/holophonicsfrenchBRUNE (chanson pop rock)Brune écrit, compose, joue et chante. Lyonnaise d'origine, son arrivée sur Paris lui a inspirée des chansons à l'allure french pop lumineuse ou plus noire et révèlent une femme déterminée et sensuelle, au regard acide et léger sur les relations amoureuses et le temps qui passe.
Un premier album, à paraître en septembre 2010, qui ose la sainte trinité, de la chanson, du rock, de l’électro. Il faut de tout pour faire de la pop. Un album de pop donc. Oui mais de pop à la française dans tout ce qu’elle peut avoir de racé, d’élégant et de classe.
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http://www.myspace.com/brunemusicTOUTES LES INFOS :
http://www.zigotoprod.com Tarifs : 16/19€ + carte M'RA et chèque culture TOP DEp'ART acceptés à La Mandragore le soir même.